• Simone, le voyage du siècle, film vu en plein air au musée de la Shoah à Pithiviers


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  • Vu hier soir, en extérieur, au musée de la Shoah à Pithiviers. Le graphisme m'a un peu déçue mais le film a le mérite d'exister et de rendre  hommage à Charlotte Salomon, jeune fille peintre, juive, et de ce fait, assassinée à Auschwitz, alors qu'elle avait 26 ans et qu'elle était enceinte. Sa vie a été racontée par David Foenkinos ("Charlotte") prix Goncourt des Lycéens 2014.

    Ce soir, un deuxième film : Simone, le voyage du siècle, toujours en plein air

    Charlotte, film


    Charlotte
    Charlotte Bande-annonce VF


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    Hokusaï

    Le film raconte l’histoire d’Hokusaï 1760-1849 (le film que nous avons vu est la version courte, 90 min).

     

    Le film commence lors de son apprentissage chez Katsukawa Shunshô. À Edo (ancien nom de Tokyo)Il peint des portraits d’artistes et de courtisanes. Les débuts sont difficiles car il veut peindre ce qu’il veut et ce qu’il voit.

     

    j’ai eu du mal à me repérer parmi les personnages. : Juzaburo Tsuraya, éditeur d’estames, condamné à une lourde amende car il publie des œuvres subversives, Utamaro Kitagawa, un autre peintre : Tanenhiko, écrivain, Goemon Nagai, mécène et élève d’Hokusaï. Je ne sais pas si le dernier personnage, Kozan Takai, a existé : samouraï mais écrivain clandestin, il est assassiné car il refuse de renoncer à son art.

     

    Le film passe ensuite des années 1780 à 1830. Hokusaï a vieilli, il a pris le nom de Hokusaï en hommage à la divinité Myoken, incarnation de l’étoile polaire (il a eu environ 120 pseudos !). C’est l’époque où il peint les vues du mont Fuji et « La grande vague de Kanagawa », reproduite à de nombreux exmplaires.

     

    Il vit avec la plus jeune de ses filles, O-Ei, peintre elle aussi. Ses deux épouses sont décédées.

     

    Il a laissé plus de 30 000 dessins.

     

    J’ai beaucoup aimé les images et la poésie de ce film mais j’aurais sans doute davantage apprécié avec un minimum de connaissance sur la littérature et l’art pictural japonais. À part Hokusaï et Utamaro, je n’avais entendu parler d’aucun des personnages du film et je les ai un peu confondus.

    une très belle image du film

     

    Hokusaï

     

    Hokusaï

     


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  • Samedi dernier, nous avons vu "Agathe Royale" de Jean-Benoît Patricot, avec Catherine Jacob et Brice Hillairet.

    C'est l'histoire d'une diva, un peu vieillissante, il faut bien le dire. Le soir de la deuxième représentation (c'est "Médée"), il se passe un incident imprévu. Comme beaucoup de spectateurs sans doute, j'ai cru que c'était vraiment quelqu'un dans la salle qui avait oublié d'éteindre son téléphone. Et cela a recommencé. J'ai vu un ouvreur se diriger vers l'endroit de la sonnerie mais il n'est pas intervenu. Un poisson d'avril, c'était le jour !

    Bref, Catherine Jacob (Agathe Royale) s'est interrompue, a décidé de ne plus jouer. Son partenaire (Brice Hillairet, Quentin) a essayé de la dissuader. Réflexions sur la vie d'acteur. J'ai bien aimé entendre la vie de Quentin, que les employeurs de sa mère femme de ménage, emmenaient au théâtre et le malaise qu'il éprouvait parfois, tant ses deux mondes étaient différents.

    Finalement Agathe Royale quitte le monde du théâtre et passe le relais au jeune acteur.

    Très bons acteurs, décors magnifiques, un écran montrait des divas du temps passé, j'ai reconnu Edwige Feuillère, Maria Casarès. Il y avait peut-être aussi Sarah Bernhardt, Jacqueline Maillan, Denise Gence...

    Et puis, c'était agréable de réécouter les scènes de "L'école des femmes" (le petit chat est mort), de Phèdre, de Esther...

     

    Agathe Royale

     


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  • Avec Isabelle Huppert

    Areva, EDF, les Chinois, Maureen Kearney, en 2012


    La Syndicaliste
    La Syndicaliste Bande-annonce VF


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