En Sicile, j’ai bien aimé visiter la vallée des temples, c’était majestueux, impressionnant. J’ai adoré faire ma propre pizza. La villa Romana et l’amphithéâtre antique m’ont plu. En plus les guides étaient cool et le chauffeur sympa. Avec les copains, c’était super. Je n’ai pas trop aimé le dernier musée et le fait qu’on n’ait pas pu voir l’Etna et l’escalader.

MAX

la vallée des temples à Agrigente :

 

 la villa romana Casale à Piazza Armerina :

le théâtre antique à Taormine :

faire sa pizza :

Au tour de Tom :

Ce que j’ai aimé :

 Les enfants dans le groupe

• Céline, Antonella et Salvooo

• Les 3 hôtels et la nourriture (malgré tout, oui)

• La visite à Palerme avec la cathédrale et le musée de marionnettes.

• L’escalier des Turcs près d’Agrigente.

• Les petites « réunions » le soir avant d’aller manger avec Antonella.

• Les jus d’oranges à Taormine et savoir la préparation d’une pizza (de A à Z).

• Le jardin à Taormine.

• La villa romaine.

• Les temps libres.

• La vallée des temples.

• Et d’autres choses que j’ai sûrement oubliées.

 l'escalier des Turcs, à Agrigente (photo de Tom) :

la cathédrale de Palerme :

le musée des marionnettes à Palerme

les conférences d'Antonnella (photo trouvée sur le site d'Antonella)

Ce que je n’ai pas aimé :

• Ne pas monter l’Etna.

• Les petits trous sur la route.

• Dommage pour le temps de la semaine.

• Ne pas avoir visité Catane.

• Avoir visité le musée d’archéologie.

• Que les serveurs nous servent au petit-déjeuner. (pour l’hôtel 1 et 3)

• Le retour en France.

 TOM

 le musée de Messine n'a pas plu à Tom et Max. Mais ils en retiendront quelque chose et plus tard ils apprécieront les toiles du Caravage.

la résurrection de Lazare

Dans ce musée, ils ont bien aimé la statue de Neptune et Scylla

Depuis longtemps, Tom et Max attendaient ce « Voyage Sicile en famille » avec Arts et vie. Programmé l’an dernier, en octobre, il avait été annulé pour cause de Covid. L’inscription et la préparation du voyage ont été jalonnées d’épreuves, résolues chacune leur tour : pas assez de places à l’inscription, carte d’identité et passeport de Tom périmés, formulaires à remplir en ligne… Finalement, comme d’habitude, beaucoup de stress pour rien… Merci à notre accompagnatrice Céline qui nous a téléphoné pour nous aider à remplir la feuille de localisation munie d’un QR-code et la demande de test antigénique à faire à l’arrivée. La veille du départ, nous nous faisons tester tous les quatre : négatif !

 

Dimanche matin, rendez-vous à 8 h 50 à Roissy CDG 2B. Dégivrage de la voiture. Gros bouchon à 3 km de l’arrivée. Mais tout va bien, nous nous présentons à l’heure au rendez-vous. Après plus d’une heure de queue, nous posons nos papiers au comptoir Lufthansa : passeports, cartes d’identité, autorisations de sorties du territoire, pass sanitaires, formulaires de localisation dPLF et nous arrivons enfin en salle d’embarquement.

L’avion est un A321 de 200 places environ. Tom, Max et Guy sont quelques sièges devant moi. C’est la première fois que Max prend l’avion. Même pas peur ! Décollage à 11 h 20/11 h 50 et arrivée à Francfort à 12 h 35.

une photo de Tom

 

On a une heure pour changer d’avion et nous en profitons pour manger un casse-croûte. Pourquoi on n’a pas fait nos sandwiches nous-mêmes ? » demande Tom qui n’apprécie guère son sandwich acheté la veille en grande surface.

 

Nous prenons un bus pour rejoindre l’avion, un A 321. Décollage à 14 h10 et arrivée à l’heure à 16 h 30, après avoir survolé les Alpes, la mer, des fleuves.

un lac ? Constance ?

une photo de Max :

les photos de Tom :

La Sicile ! on arrive !

 

La sortie se fait rapidement, on ne nous demande même pas le fameux dPLF mais il nous faut nous rendre au centre de test. On nous gratouille, assez brutalement, le nez et quelques minutes plus tard, le résultat tombe : nous sommes tous négatifs. Le voyage peut commencer. Nous sommes 14 adultes, 9 enfants de 10 à 14 ans, plus Céline notre accompagnatrice et Antonella notre guide.

 

Notre chauffeur de bus, Salvo, est très sympathique, notre bus l’est moins car les sièges sont étroits et il n’y a que 25 places. Mais les trajets seront courts donc ce n’est pas important.

 

Installés à l’hôtel Tonic, via Mariano,

photo de Tom :

nous redescendons pour une petite réunion de présentation(photo de Tom )

puis partons dîner un peu plus loin, au restaurant Leone, rue Cavour. C’est sous un fort orage que nous effectuons le trajet : le ton est donné, ce séjour sera pluvieux, très pluvieux…

 

Au repas, nous avons : caponata (plat sicilien à base de céleri, aubergines, poivrons, oignons, tomates, olives, câpres et servi froid), spaghetti, canolli et brochette de fruits.

 

 

 

 

J’ai posté 17 cartes… Elles n’arriveront sans doute jamais, si j’en crois les nombreuses expériences malheureuses (lues trop tard!) racontées sur les forums de discussions.

 

Antonella nous avait pourtant bien prévenus : il fallait acheter les timbres dans les bureaux de tabac et les poster dans les boîtes à lettres rouges. Mais quand vint le temps d’acheter les timbres, j’ai tout oublié et acheté des timbres GPS (Global postal service) pourvu d’un qr code permettant en principe de les suivre. Le problème, c’est que nous n’avons pas trouvé de boîte jaune où il faut obligatoirement poster les cartes (si on les met dans les boîtes rouges, elles seront jetées). Antonella nous a proposé de les poster dans une boîte jaune. Le problème c’est que ce service privé ne semble pas fiable : le code GPS (gros piège service!) ne fonctionne pas, les timbres sont plus chers, les cartes arriveront très tard, voire jamais.

 

C’est bien ma faute, maintenant je ne confondrai pas « service public et service privé »)...

 25 novembre : les cartes sont arrivées !

En 2012,  nous avons passé une semaine en Sicile : Palerme, Syracuse, Agrigente, Piazza Armerina, Milazzo, les temples grecs, églises baroques, mais surtout les volcans : l'Etna, le plus haut volcan d'Europe, qui était calme ce jour-là. Cependant, nous avons marché sur les scories parmi les vapeurs de soufre, les fumerolles (ascension en téléphérique puis en bus jusqu'à 2800 m). Le sommet du voyage a été les deux journées passées sur les îles 2oliennes, lipari, Vulcano et surtout Stromboli. Le soir, le volcan a craché trois belles explosions avec une petite coulée de lave. C'était magique. malheureusement, nous étions loin ! 

L'an dernier, nous avions projeté de retourner en Sicile, en "voyage famille' organisé par Arts et vie. Malheureusement, le voyage a été annulé. Nous sommes de nouveau inscrits cette année avec Max et Tom : des conférences sur les mythes et le vocanisme, un quizz, une préparation de pizza... je pense que ces activités ludiques plairont aux enfants. Il y aura aussi des visites, l'"escalade" de l'Etna

 J'espère que Mr Corona ne nous jouera pas des tours

 Nous avons tous les quatre notre pass sanitaire

 

Nous longeons la côte pour nous rendre à Taormine. Des rochers de basalte, les faraglioni,  (Isole dei ciclopi) furent lancés par le cyclope Polyphème, fils d’Héphaïstos, après qu’Ulysse lui eut crevé l’œil.

Autre légende : le berger Acis, beau garçon, était amoureux de Galatée. Mais celle-ci était convoitée par Polyphème qui lança des rochers sur les fiancés. Galatée changea le sang d’Acis en rivière qui porte son nom.

Avant de faire un tour de lèche-vitrines dans le vieux Taormine, nous avons visité le théâtre gréco-romain. Le théâtre de Taormine fut construit par les Grecs pour les tragédies. Il n’y avait pas de mur au fond de la scène : le décor, c’était la mer Ionienne et l’Etna enneigé ou en éruption. Le théâtre fut ensuite remanié par les Romains pour y faire des combats de gladiateurs (scène agrandie et construction d’un mur de scène creusé de niches et d’une colonnade). Par une brèche du mur de scène, on peut apercevoir la mer et l’Etna.

Goethe disait de Taormine que c’était « un paradis sur terre » et D.H Lawrence qu’elle était la « côte du soleil levant de l’Europe ».

En fin du diaporama

La trinacria est le symbole de la Sicile. Son nom vient d'un mot grec signifiant "trois jambes" (en référence à ses trois caps : Peloro, Passero, Lilibero. On a coutume d'identifier le visage comme étant celui de méduse, l'une des trois Gorgones. Les jambes fléchies représenteraient les rayons du soleil et le noeud de serpents seraient constitué d'anguilles de mer destinées à effrayer les ennemis.

Taormine - diaporama pps